Les différents types d’E-Commerce !

Les différentes formes de E-commerce

Sommaire

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Introduction

Le E-commerce est une méthode de vente assez récente, qui repose essentiellement sur Internet, et dont la croissance ne cesse de progresser. En effet, les revenus du e-commerce ont dépassé les 1 030 milliards de dollars uniquement sur le territoire américain en 2022 et les chiffres ont atteint les 146,9 milliards d’euros en France la même année, une hausse de 13,8 % versus 2021. Bien évidemment, les entreprises proposant des produits à la vente pour le client particulier sont particulièrement nombreuses. Mais il existe aussi d’autres sortes de boutique sur le web, visant différents types de cibles. Elles sont donc autant d’autres opportunités à saisir, notamment si vous avez pour ambition d’ouvrir votre magasin en ligne. Laissez-nous vous éclairer sur ce sujet et vous détailler les différentes formes d’e-commerce déjà en place…

Définitions et avantages des principaux modèles professionnels

B2C : Du professionnel au client

Le principe B2C est celui auquel on pense spontanément lorsque l’on parle de sites d’e-commerce. Cet acronyme signifie « Business to Consumer » et désigne toutes les transactions effectuées entre une entreprise et des consommateurs particuliers. Autrement dit, il s’agit du modèle de vente le plus populaire sur le Web.

En B2C, les entreprises commerciales vendent en direct à des particuliers. Le client est le consommateur final du produit ou du service vendu. Pour y voir plus clair, prenons un exemple. Lorsque vous achetez des chaussures auprès d’un magasin de chaussures en ligne (pour les porter vous-même ou pour les offrir), il s’agit bien d’une transaction commerciale électronique entre une entreprise vendeuse et un consommateur. Il s’agit donc d’une forme B2C d’e-commerce.

Dans le jargon professionnel, lorsque l’on parle de B2C, cela intègre également toute la communication s’articulant autour de la vente en elle-même, à destination des clients privés potentiels ou existants. Autrement dit, le modèle B2C inclut aussi toute la gestion marketing orientée vers le consommateur.

Généralement, les articles ou services vendus en B2C sont fabriqués en série et sont majoritairement destinés à un usage privé. La décision d’achat, quant à elle, revient à un seul client ou à un tout petit groupe d’individus. En ce sens, il s’agit d’un principe très différent du B2B.

B2B : Les transactions entre professionnels

Le B2B est un type de commerce entre professionnels. Cet acronyme désigne le concept « Business to Business », c’est-à-dire interentreprises. Par exemple, cela peut concerner des relations commerciales entre un fabricant ou un grossiste et un détaillant. Si vous vous lancez dans l’aventure du e-commerce, vous entretiendrez certainement deux typologies d’e-commerce.

En premier lieu, vous aurez nécessairement besoin d’acheter vos articles auprès d’un fournisseur. Comme vous serez un professionnel, il s’agira donc d’une relation B2B. Puis, vous revendrez les produits que vous avez vous-même achetés à des clients particuliers. Dans ce cas, vous basculerez dans une relation B2C. Ces deux formes de modèles sont donc parfaitement complémentaires.

Le B2B n’est pas orienté vers le client final. Il ne s’adresse qu’à une base de données d’entreprises. Les produits achetés et l’expérience de vente ne sont donc pas les mêmes. Tandis que le B2C concerne essentiellement le produit fini, physique, fabriqué en série, le B2B intègre différents types d’articles comme des matières premières, pouvant ensuite être reconditionnées ou combinées avant d’être vendues aux consommateurs finaux. En B2B, le processus d’achat et de négociation est généralement plus long. En effet, il intègre très souvent plus d’acheteurs.

Par ailleurs, leur expertise n’est pas la même que celle des clients particuliers. Les professionnels savent précisément ce qu’ils veulent et ont donc des attentes beaucoup plus techniques. Le message marketing qui leur est fourni n’est donc pas le même que lorsqu’il s’agit de s’adresser à des clients particuliers.

En B2C, la stratégie marketing est de déclencher l’émotion chez l’acheteur. B2B, les achats sont souvent beaucoup plus rationnels et reposent sur des données tangibles, concrètes et mesurables. L’acheteur cherche avant tout à rationaliser son achat, pour ensuite en retirer la meilleure rentabilité possible.

B2A : entre entreprise et administration

Le B2A signifie « Business to Administration ». Cette forme d’e-commerce se rapproche quelque peu du B2B et ne s’adresse pas directement aux utilisateurs finaux. Il s’agit de transactions réalisées entre les entreprises et les administrations en ligne. Cela peut également s’appeler B2G, pour « Business to Gouvernment ». Il s’agit exactement du même modèle.

Le B2A concerne toutes les relations entre les entreprises et les autorités publiques. Il s’agit généralement d’échanger des documents d’ordre juridique ou administratif. Si cette forme s’est considérablement développée au cours des dernières années, c’est avant tout parce que les entreprises et les administrations traitent de plus en plus sur le web, afin d’accélérer les procédures.

L’électronique améliore leur efficacité et le B2A ne cesse donc de gagner du terrain. Différents outils et formulaires peuvent désormais être téléchargés directement en ligne. Le paiement des taxes se fait lui aussi par l’intermédiaire d’Internet.

Besoin d’un exemple pour mieux comprendre ? Lorsqu’une entreprise doit effectuer le paiement de ses impôts, comme sa TVA ou sa taxe foncière des entreprises, l’administration lui envoie une notification via un service dédié sur Internet. Dès réception de l’avis d’impôts, l’entreprise paye la taxe due à l’État. Il s’agit bien d’un échange commercial entre une société et l’administration, entre une boutique en ligne et un service public français, par exemple. C’est donc bel et bien une solution d’e-commerce B2A.

 

Small town with small and medium business.

Quels sont les différents types de e-commerce entre particuliers ?

C2C : « Consumer to Consumer », tout simplement !

Le modèle C2C, « Consumer to Consumer », se rapporte à la gestion de produits ou de services entre les clients eux-mêmes. Il s’agit d’une forme de magasin en ligne en plein essor et qui ne nécessite pas de magasin physique.

Le principe est simple : en tant que particulier, vous avez un objet à vendre. Il vous suffit de déposer une annonce sur des sites spécialisés pour qu’un autre acheteur particulier vous contacte et achète votre produit. Il s’agit d’une économie parallèle à celle mise en place par les magasins et les professionnels, qui se développe de plus en plus.

Si ce système existe depuis la nuit des temps, dès l’origine de l’économie notamment par l’intermédiaire du troc, il passe aujourd’hui par un canal beaucoup plus récent : Internet.

Le Web a considérablement changé la donne en matière de seconde vie d’objets. Désormais, les choses dont vous ne vous servez plus ne sont plus mises à la poubelle. Elles se revendent et servent à d’autres utilisateurs.

Autrefois, la page “petites annonces” était laissée au commerçant physique, ne permettant aux vendeurs que de toucher une population très restreinte.

Désormais, le C2C va beaucoup plus loin et profite de l’essor des sites Internet pour les ventes en ligne, une solution pour que les particuliers puissent ainsi toucher des acheteurs potentiels dans toute la France, par exemple.

Principal intérêt de l’expérience C2C : l’absence d’intermédiaire et donc des prix plus bas, soit autant d’occasions de faire de bonnes affaires.

Notez au passage que le C2C peut tout autant concerner les ventes de produits que de services. Par exemple, l’activité de taxis improvisés entre particuliers, mieux connue sous le nom d’Uber en France et à l’étranger, est bien une forme de C2C.

C2B, la vente de produit ou service du client au professionnel

Le C2B change totalement la donne et renverse complètement le profil traditionnel du commerce électronique. Il s’agit du commerce type « Consumer to Business », c’est-à-dire du consommateur vers l’entreprise.

Vous ne voyez pas comment cette gestion d’e-commerce peut fonctionner ? Et si je vous parle de financements participatifs ou projets de crowdfunding ?

En C2B, les particuliers mettent leurs produits ou services à leurs prix et à disposition des acheteurs commerciaux via des outils ou un logiciel dédiés.

Ainsi, si une entreprise décide de croire en un projet, elle n’a plus qu’à investir dans celui-ci, en contrepartie par exemple de parts dans l’entreprise ou de collecte de données.

Besoin d’un autre exemple ? Le modèle commercial iStockPhoto répond parfaitement au C2B. Sur cette plateforme, des photographes mettent en ligne différents types de photos. Elles peuvent ensuite être achetées par des entreprises, pour décorer un réseau de magasins physiques français ou pour illustrer une page d’accueuil d’un logiciel électronique par exemple.

Le modèle commercial habituel est totalement bouleversé. S’il s’agit d’une solution e-commerce à laquelle nous pensons moins spontanément mais qui marche depuis de nombreuses années.

C2A, un business model “Consumer to Administration »

Enfin, le C2A reprend exactement la même idée que dans le point précédent, avec le C2B. Cependant, cette fois, l’entreprise est remplacée par l’administration. Autrement dit, les particuliers vendent directement des produits ou des solutions en ligne aux administrations.

Par exemple, il peut s’agir de solutions de consulting pour l’élaboration de plans de formation, pour l’éducation nationale ou pour la préparation de déclaration de revenus en ligne.

De même, certaines administrations peuvent parfois faire appel à des rédacteurs ou des spécialistes du design pour élaborer leurs pages Internet ou leur contenus.

Le C2A est très proche du B2A. Il se concentre essentiellement sur l’amélioration de l’efficacité au sein des administrations et du gouvernement, notamment par l’intermédiaire des nouvelles technologies d’information et de communication.

Bien entendu, la forme que vous choisirez ne sera pas le seul critère qui déterminera votre projet d’entreprise e-commerce.

D’ailleurs, comme nous l’avons vu au début de cet article, il est fort probable que vous ayez à coupler deux sortes d’e-commerce pour une seule et même activité (comme le B2B lors de vos achats et le B2C pour la revente de vos produits).

Se lancer dans le e-commerce

Quelles questions se poser avant de commencer son projet ?

Pour mener à bien votre projet de commerce électronique, de nombreuses notions seront à prendre en compte. Quels types de produits proposez-vous ? Proposerez-vous des produits physiques, des produits digitaux ou des services ? Envisagerez-vous de vendre sur votre propre site Internet ou par l’intermédiaire de places de marché ? Quels sont les meilleurs produits à vendre sur Internet pour vous aider à réussir ?

Telles sont quelques-unes des questions que vous aurez à vous poser avant de vous lancer dans cette grande aventure du business e-commerce.

Communication, marketing, logistique… Quels sont les risques du e-commerce ?

Les risques du e-commerce sont minimes et sont diminués par son modèle, plus simple et plus accessible que le commerce physique. Votre plus grande problématique sera de recruter toujours plus de clients et de fidéliser vos acheteurs. Vous comprendrez alors qu’une stratégie marketing mal conçue peut entraîner des pertes financières conséquentes.

Aussi, soyez toujours alerte face à Internet : les cyberattaques, les fraudes en ligne et les problèmes de logistique peuvent nuire à la réputation d’une entreprise et éroder la confiance des consommateurs. Heureusement, vous pouvez compter sur des outils en ligne de plus en plus sécurisés, et cela passe aussi par votre solution e-commerce !

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E-commerce : Charges, Profits, Rentabilité.

2 Comments

  1. Génial, ce guide est un outil de diagnostic efficace, qui permet de comprendre l'environnement et l'influence qui peut impacter l'activité du Ecommerce. Bien adapté aux réalités nouvelles du marché. Bravo pour cet Article !

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